Catégorie : Les incontournables

  • #038 – Spaghetti & palourdes

    #038 – Spaghetti & palourdes

    Spaghetti & palourdes

    Pour 4 personnes 

    320 gr de spaghetti

    600 gr de palourdes

    2 gousses d’ail

    1 bouquet de persil

    1 piment

    Huile d’olive

    Sel

    Mettre les palourdes dans de l’eau salée pendant 2 heures afin qu’elles relâchent le sable. Les rincer à plusieurs reprises. 

    Faire rissoler dans une grande casserole avec un peu d’huile d’olive les deux gousses d’ail finement ciselées. Ajouter les palourdes. Afin qu’elles s’ouvrent uniformément, utiliser un feu vif et recouvrir la casserole d’un couvercle. 

    Éliminer les palourdes qui sont restées fermées, filtrer l’eau rendue par les palourdes avec une fine gaze alimentaire afin d’ôter les impuretés. Décortiquer les palourdes, en garder une vingtaine avec leurs coquilles. 

    Nettoyer la casserole, y ajouter quatre cuillères d’huile d’olive et le jus de cuisson des palourdes. Porter à ébullition. Ajouter les palourdes et le piment ciselé. Mélanger vivement et éteindre le feu. 

    Cuire les spaghetti dans de l’eau bouillante salée. Les égoutter al dente et les ajouter aux palourdes. Saupoudrer de persil ciselé, ajouter un filet d’huile d’olive, mélanger. 

    Décorer avec la vingtaine de palourdes restées entières.

    Servir.

    Un plat parmi les plus répandus de la cuisine italienne. Un plat d’une apparence relativement banale mais qui exige des produits de qualité et une attention soutenue car il faut parvenir à obtenir un équilibre parfait entre le jus iodé des palourdes (vongole en italien), la présence de l’ail et la vivacité du piment frais.

    Les vongole doivent être – si possible – sauvages, celles de l’étang de Thau (Hérault) sont excellentes, charnues et goûteuses à souhait. 

    Une fois que les palourdes ont été ouvertes, on peut réaliser la sauce pendant la cuisson des pâtes car tout se fait en quelques minutes, au moment où l’on assemble jus de cuisson, palourdes, piment et le persil.

  • #020 – Tajarin à la truffe blanche

    #020 – Tajarin à la truffe blanche

    Tajarin à la truffe blanche

    Pour 4 personnes 

    320 gr de tajarin

    1 truffe blanche (40/50 gr environ)

    80 gr de beurre

    50 gr de parmesan

    Sel

    Poivre.

    Nettoyer la truffe en la brossant délicatement. A l’aide d’une râpe à truffes, découper une vingtaine de fines lamelles. 

    Faire fondre le beurre dans une poêle avec la vingtaine de lamelles de truffe. Laisser infuser sur feu doux une dizaine de minutes. Réserver au chaud. 

    Cuire les tajarin dans un grand volume d’eau salée et bouillante. Les égoutter al dente et les mettre dans la poêle contenant le beurre et les truffes, ajouter le parmesan râpé, mélanger rapidement et, à l’aide de deux fourchettes, soulever les tajarin pour éviter qu’ils ne collent. Saler, poivrer. 

    Si la sauce est trop réduite, ajouter une à deux cuillères d’eau de cuisson des tajarin. 

    Râper sur chaque assiette d’autres fines lamelles de truffe blanche.

    Servir.

    Le summum de la délicatesse, c’est la truffe blanche. 

    Dans la série, plus ou moins anecdotique, des mets qu’il faut au moins avoir mangés une fois dans sa vie, la truffe blanche a toute sa place.

    Avec des prix qui, parfois, frisent l’indécence (en moyenne entre 2.000 et 3.000 euros le kilo) mais, le plus souvent, sans rebuter les fins gourmets. 

    Si l’on est conscient que 15 gr de truffes par personne, râpées sur un plat de pâtes, sont ô combien suffisantes pour satisfaire toute gourmandise avérée, la somme à débourser reste raisonnable pour un plaisir furtif, certes, mais intense.

    Voir la recette des tajarin

  • #018 – Tajarin à la truffe noire

    #018 – Tajarin à la truffe noire

    Tajarin à la truffe noire

    Pour 4 personnes 

    320 gr de tajarin

    1 truffe noire (60 gr)

    1 gousse d’ail

    20 gr de beurre

    10 gr de parmesan

    Sel 

    Poivre

    Nettoyer la truffe noire avec une brosse en la maintenant sous un léger filet d’eau. Râper en fines lamelles la moitié de la truffe (on doit se servir d’une râpe à truffes). 

    Porter sur feu doux une poêle avec les 20 gr de beurre et les lamelles de truffes râpées. Veiller à ce que le beurre ne colore pas. Maintenir sur le feu pendant 5 minutes. 

    Cuire les tajarin dans un grand volume d’eau salée et bouillante. Les égoutter al dente et les verser dans la sauce au beurre et à la truffe. Mélanger et servir rapidement

    Râper sur chaque assiette de fines lamelles de l’autre moitié de la truffe, ajouter le parmesan (facultatif). 

    Servir.

    Les tajarin sont des pâtes aux oeufs, originaires du Piémont. On peut les remplacer par des tagliatelle ou des tagliolini.

    Voir la recette des tajarin

  • #007 – Rigatoni, cacio & pepe

    #007 – Rigatoni, cacio & pepe

    Rigatoni, cacio & pepe

    Lazio – Roma

    Pour 4 personnes 

    320 gr de rigatoni

    150 gr de pecorino

    Poivre

    Sel

    Cuire les rigatoni dans une grande quantité d’eau salée. 

    Au bout de cinq minutes, prélever 4 cuillères à soupe d’eau pour les mélanger énergiquement à la moitié du pecorino râpé afin qu’aucun grumeau ne se forme. Poivrer abondamment. Maintenir cette sauce au chaud.

    Égoutter les rigatoni al dente. Les verser dans un grand plat creux préalablement chauffé dans lequel vous aurez glissé la sauce. Enrober délicatement les rigatoni avant d’ajouter le reste du pecorino râpé et, à nouveau, du poivre fraîchement moulu. Mélanger. La sauce doit être dense. Ajouter, si nécessaire, un peu d’eau de cuisson des rigatoni pour rendre l’ensemble plus homogène.

    Répartir les rigatoni dans des assiettes qui, elles aussi, auront été préalablement chauffées dans le four.

    Servir aussitôt.

    La pasta Cacio e pepe est un plat incontournable de la cuisine romaine. Moins à facile à réaliser que ce que l’on croit car il faut que la crème soit à température parfaite, donc ni trop chaude, ni trop froide, pour qu’elle ne se fige pas au contact des pâtes.

    La recette traditionnelle a recours aux spaghetti mais les pâtes courtes (penne, rigatoni, etc.), en forme de cylindre, conviennent tout autant, la sauce pecorino-poivre s’y glissant à merveille. 

    Le pecorino est un fromage de brebis au lait entier, au goût légèrement salé. Plusieurs régions italiennes en produisent, les plus recherchés sont le pecorino romano et le pecorino sardo.

Le Lab de Sempre Al Dente